Au sortir de la rue Jean Jaurès.
Face à nous, au centre la Mairie et de part de d’autres, à gauche, l’école les filles – à droite, l’école des garçons.
Trente ans, trente longues années de discussions, tergiversations, pour arriver en 1895 au financement et au choix de l'emplacement (un terrain maraicher au bas de la rue de Versailles).
e bourrelier à la fois maréchal-ferrant et réparateur d'outil agricoles. Le transport et le travail de la terre sont encore intimement liés à la traction chevaline.
Sortie des classes - sans danger ? Entre rues de Saint- Germain, Saint-Louis et rue de Versailles et voie ferrée.
Une ménagère en tablier. Est-ce la tenancière de ce débit de boissons, à l'angle de la ruelle des Sœurs, au nom prédestiné de Bacchus ?
La mairie abrite aussi le bureau de poste.
Au débouché de la rue Saint-Louis, la petite locomotive aborde vaillamment la pente importante de la rue de Versailles.
Il avait été difficile de faire accepter par les riverains cette voie ferrée rasant les maisons.
En concurrence : cheval et vapeur.
Quelle différence avec la carte précédente ? Réponse : les lignes téléphoniques et électriques installés sur la commune de 1910 à 1915.
Vue plus récente (1950). Déjà, la publicité, hélas, pollue le paysage.
Avec regret, quittons notre Mairie-Ecoles, un ensemble qui disparaîtra du paysage familier dans les années 1970 sous la pression du réseau routier. Marguerite (figure emblématique de la mémoire du village) … regrette l'horloge où l'on pouvait venir voir l'heure. En place aujourd'hui, un triste autopont au-dessus de la RN 13.
Sous la pression du Conseil municipal et se dégageant de toute responsabilité, le maire vient d'autoriser une vitesse de 15 km/h dans la traversée du village !
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